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EXPERTISE CONTREFACON

Le cabinet d'expertise Ateca Martin est reconnu pour ses compétences dans le domaine de la contrefaçon.

 

Nous utilisons les techniques suivants : 

 

Analyses des pigments

en Microscopie Électronique à Balayage (M.E.B.) 

fluorescence X 

microchimie

Spectrométrie Infrarouge

 

Nous effectuons des expertises tant pour des particuliers que pour des professionnels.

 

 

Depuis plusieurs années le marché des contrefaçons ne cesse de croitre.  Le cabinet d'expert Ateca Martin propose un service unique d'authentification.

 

Nous nous déplaçons en France, au Luxembourg, à Monaco et en Suisse sur rendez-vous

IDENTIFICATION & DATATION

Une couche de peinture est un milieu multicouche composé de la superposition de couches de préparation, de l’ébauche (ou dessin), de la couche dite « colorée » (comprenant parfois des glacis) et de couches de vernis. 

 

L’identification d’une batterie de tests sur la toile afin d'identifier la nature exacte des fibres.

 

Les analyses portent sur les liants et les pigments, apportent de précieux  renseignements. Elles filtrent la plupart des faux par l’apport de preuves. Elles ne peuvent pas déceler si le tableau est de la main du maître, de son atelier ou d’un faussaire contemporain de l’artiste présumé.

 

Les techniques les plus courantes sont les analyses des pigments en Microscopie Électronique à Balayage (M.E.B.) en fluorescence X, par microchimie à l’aide de réactifs sur des micro-prélèvements, ou encore par spectrométrie micro Raman ou Spectrométrie Infrarouge à Transformée de Fourier.

 

La caractérisation des pigments ou des alliages métalliques permet également d’obtenir des datations du matériau analysé.

La microscopie Raman

La microscopie Raman est une technique pour la caractérisation des produits d’altération des métaux, des matrices siliceuses ainsi que des pigments. 

Fréquences des différentes bandes Raman du pigment phtalocyanine de cuivre.

Fréquences des différentes bandes Raman de TiO2 anatase et rutile, la position des bandes caractéristiques de ces deux structures.

La spectrométrie infrarouge à transformée de Fourier (IRTF) 

La Spectrométrie Infrarouge à Transformée de Fourier est basée sur l’absorption d’un rayonnement infrarouge par le matériau analysé. Elle permet, via la détection des vibrations caractéristiques des liaisons chimiques, d’effectuer l’analyse des fonctions chimiques présentes dans le matériau.

 

Elle est principalement utilisée pour caractériser des substances organiques : liants, matériaux constitutifs des œuvres, produits provenant d’anciennes restaurations. Elle s’effectue avec prélèvements sur l’œuvre.

STM-AFM

 

Le service de microscopies en champ proche est principalement utilisé pour des études sur la caractérisation morphologique de nanoparticules lithographiques, de dépôts colloïdaux, de matériaux en grains fins, de couches minces organiques ou de matériaux massifs ayant subi des traitements de surface.

ANALYSE OPTIQUE

L’observation optique correspond au premier examen pratiqué. Il est le moyen d’expertise fondamental et le plus évidents des examens visuels. 

 

En fonction de l’angle d’éclairage (microscopiquement ou macroscopiquement), lumière directe ou rasante, on peut obtenir différents types d’informations.

 

Elles permettent d’aborder des détails au niveau des signatures, marques d’inventaire et autres inscriptions. L’imagerie peut permettre de retrouver les étapes de création de la peinture : dessin sous-jacent, repentirs, …

 

 

Principalement, trois types de rayonnements sont utilisés :

  • Les ultraviolets (UV)
  • Les infrarouges (IR)
  • Les rayons X (RX)

 

Ces rayonnements pénètrent l’œuvre à une profondeur croissante et donnent des informations complémentaires. 

  • Les ultraviolets (UV) s’arrêtent au vernis et à la couche superficielle 
  • Les infrarouges (IR) pénètrent jusqu’à la couche de préparation, sur laquelle se trouve le dessin préparatoire, 
  • Les rayons X (X-ray), très énergétiques, pénètrent plus ou moins l’objet étudié en fonction des éléments chimiques qui le constituent et de son épaisseur.

Ces examens comme permettent de révéler des informations cachées sous la couche picturale (repentis ou peinture préexistante), etc.

 

Différentes méthodes sont utilisées et complémentaires. Parmi les plus courantes dans le domaine de la peinture : 

L’analyse pigmentaire, la microanalyse par M.E.B. (microscope électronique à balayage) sur prélèvement apporte trois informations. 

La première, sous forme d’image en électrons secondaires (E.S.), nous donne la topographie de l’échantillon. 

La deuxième sous forme d’image en électrons rétro diffusés (E.R.D.) nous donne une « image » chimique de l’échantillon.

 Et une analyse élémentaire en dispersion d’énergie des rayons X (E.D.X.) sous forme de spectre. Ceci n’a finalement qu’un objectif, celui d’identifier la nature des pigments et des charges constitutives d’un échantillon de peinture prélevé sur l’œuvre. 

 

Ensuite, la fluorescence X est une méthode d’analyse élémentaire, qui, sans toucher l’œuvre ni effectuer de prélèvement, grâce au rayonnement X, identifie les éléments chimiques des pigments de surface. 

 

L’analyse par spectroscopie micro Raman, sur des micro écailles, est une méthode d’analyse structurale qui permet d’identifier les matériaux. 

Enfin, pour les matériaux comme les liants, les vernis, les colles, nous les identifions par la spectrométrie IFTF - Infrarouge à « Transformée de Fourier », qui à partir de la mesure de l’intensité de lumière infrarouge absorbée par le matériau, en donne ses caractéristiques structurales et son identification, par comparaison avec des matériaux de référence.

 

Les études des œuvres aux rayons x est de découvrir les évolutions de l’œuvre

  • Le Gobeur d’oursin de Picasso 

 

Sous le Gobeur d'oursin de Picasso réalisé en 1946 est nettement apparu, aux rayons X, le portrait du Général C A Vanderberg ou le fondateur du Musée d’Antibes, et la preuve que Picasso peignait sur une toile de la réserve du musée. 

  • Le tableau L’Homme blessé peint par Courbet entre 1844 et 1854, représente un homme seul. Blessé, il s’est assis au sol sous un arbre.

 

Mais grâce à la radiographie, on distingue une femme blottie contre l’homme, sa tête contre son cou et la main gauche sur son épaule. 

 

La femme ayant disparu de la version finale expliquerait le choix du titre de ce tableau.

A partir de micro prélèvements, l’analyse physique et microchimique de la matière permet une identification des différents matériaux en présence, pigments et liants qui composent la couche picturale. 

 

Selon les cas, cette analyse se fait aussi par d’autres moyens non destructifs, par exemple la fluorescence X. 

Cette analyse participe au dossier d’authentification. L’identification d’un pigment ou du liant rattache l’œuvre à un moment de création particulier. 

Ces opérations aident à situer l’œuvre dans le temps, les éléments chimiques composant les pigments et les liants étant généralement caractéristiques de leur époque. 

 

La recherche de l’anachronisme dévoile la falsification. Inversement, la présence de pigments compatibles avec le temps de l’exécution d’un tableau peut conforter l’œuvre dans une époque donnée. 

LABORATOIRES UTILISES 

 

Les laboratoires et institutions universitaires utilisés sont notamment :

 

Le GEMTEX – ENSAIT www.ensait.fr

 

Le MNHN et le CNRS : l’UMR 7205  www.mnhn.fr

 

L’université Paris Diderot :  ITODYS et le CNRS : l’UMR 7086  www.itodys.univ-paris-diderot.fr

 

L’IFTH www.ifth.org

 

Le CTC www.ctcgroupe.com

 

Le LEC – ESITH  www.esith.ac.ma

 

Le FCBA  www.fcba.fr

bjl.martin@orange.fr

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Siren : 401007554

 

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